Fanny Candéli écrit ses chansons depuis son plus jeune âge.
Encouragée à seize ans par Etienne Roda-Gil, grand parolier, elle ne
cesse depuis de composer son univers émotionnel.
Faire tomber les barrières, voilà sa mission : faire un pont entre
l’intelligence constructive des belles chansons à textes et l’émotion
des grands airs que nous aimons. Des titres populaires dans le bon
sens du terme et élevant vers le haut sans fausses prétentions.
Fanny se souvient suffisamment de sa formation lyrique pour n’être
pas une « chanteuse qui parle », mais ne surjoue aucun effet de sa
voix cristalline. Des mélodies pop et folk ou un piano voix viennent
cueillir l’émotion sans l’imposer. Véritable architecte des mots, elle
construit ses chansons avec minutie, tout en harmonie. Et l’humour
n’est jamais loin. Délicat, lui aussi.
Pour en savoir plus, vous pouvez télécharger le dossier de presse complet de Fanny
Interview de Fanny
Biographie
Fanny Candéli naît à Montauban, dans le sud-ouest de la France. Dès l’âge de quatre ans elle est attirée par le théâtre, sa première passion, grâce auquel elle découvre le plaisir de la scène. Elle suit parallèlement des cours de piano dès ses huit ans, mais surtout elle ne cesse d’écrire, dès le début de son enfance, des poèmes et des petites histoires.
« Mes compagnons à moi, mes camarades de jeu, bien souvent, c’était les mots »
La première année de collège sera, pour Fanny, celle de la « révélation » : elle découvre entre autres les chansons de Jean-Jacques Goldman et Lynda Lemay, et elle délaisse alors le théâtre au profit des cours de chant (lyrique et variété) pendant cinq ans.
« J’aimais d’abord et avant tout écrire. Puis les chansons de Goldman m’ont fait aimer le chant. Et naturellement, petit à petit, je me suis mise à écrire des chansons. »
L’adolescente de l’époque explore alors les univers de Brel, Brassens, Barbara, Boby Lapointe, Anne Sylvestre, mais aussi la pop d’Alanis Morissette et le jazz de Ray Charles.
C’est alors le temps des premières maquettes « piano et voix » (une 12 titres en 2004, une 10 titres en 2007), et des premières scènes aussi, qui amènent la lycéenne à rêver d’un futur métier dans la musique… mais ce sera pour plus tard ! Après l’obtention du Baccalauréat, Fanny met la chanson en sourdine (excepté l’enregistrement d’une maquette 13 titres en 2010) pendant ses années d’études littéraires : Hypokhâgne, Khâgne, puis Licence et Master à la Sorbonne l’amènent à passer le concours de Professeur de Lettres.
Fanny se lance alors dans l’enseignement, le « plus beau métier du monde », mais très vite, son premier rêve la rattrape au galop : réaliser un album.
« J’avais ce métier dans le cœur, j’avais la flamme. Mais j’ai trop la musique à fleur de l’âme… » (in « Le plus beau métier du monde »)
C’est la rencontre avec Michel d’Ottaviani, directeur de l’Atelier du Chant à Paris, puis celle avec Franck Amseli, guitariste et arrangeur, qui permettront à l’auteur-compositeur-interprète de se lancer dans cette aventure en 2011. Pari gagné un an plus tard avec la réalisation en auto-production de son album « En Sourdine », qu’elle partage désormais avec un public varié.